Arte, France culture, L’Obs, France Inter etc…

Ce sont déjà plus de 30 publications nationales et internationales qui parlent de Claude Froidmont !

Lettre d’Annie Ernaux à l’auteur

« Cher Claude Froidmont,

Je ne suis jamais encore allée à Malagar […]. Il me semble que votre livre m’en donne une image suffisante et, pour tout dire, ce n’est pas ce qui m’a intéressée dans votre livre, mais vous. […] C’est unique, émouvant, magnifiquement raconté : ce jeune homme, je le vois vivre là-bas, je le “ressens” dans sa solitude enfiévrée de rêves et d’orgueil, d’espérance, maladroit et attachant. […] Si par hasard je vais quand même un jour à Malagar, ce ne sont pas ces ombres illustres que j’y chercherai mais celles du gardien, de son épouse et du jeune homme de la fin des années 80 qui m’est si fraternel.

Annie Ernaux »

(extraits reproduits avec l’autorisation de l’auteur)

Arte (Invitation au voyage)

Le 21 novembre 2017, dans son émission « Invitation au voyage » sur Arte, parmi les trois lieux qui appartiennent à notre patrimoine artistique, culturel et naturel, Linda Lorin nous entraîne à la découverte de la Gironde de François Mauriac, reportage dans lequel Claude Froidmont présente le château Mauriac.

Revue générale

« Combien de fois connaissons-nous de réels coups de cœur dans notre vie de lecteur ? Combien de livres nous touchent vraiment, nous changent parfois, nous améliorent même ? À mes yeux, Chez Mauriac à Malagar est de ceux-là, évidemment, de ceux que l’on fait sien, même si je ne m’en explique guère les raisons (sans doute parce que les coups de cœur n’ont pas grand-chose à voir avec la raison !). Bien sûr, ce mystérieux auteur, Froidmont (“pseudonyme d’un professeur de Gironde”, dit la quatrième de couverture) a beaucoup à voir avec mes propres racines, tant géographiques que sociales, avec mes propres goûts, avec ma propre histoire… À commencer par ce sacré Henri Guillemin, que j’ai tant lu au fil de mes trouvailles en bouquinerie, que j’ai tant écouté sur de capricieux walkmans antédiluviens, que j’ai tant suivi dans ses tournées de conférencier, du Casino de Spa à d’improbables “centres culturels”. Que j’ai tant admiré et aimé, moi aussi. Mais Froidmont, lui, a osé écrire au granthomme… Et sa vie en fut changée. Et c’est là que commence l’ivresse, la magie d’une autre vie rêvée, l’identification au personnage de papier, le plaisir de la Littérature vivante… La réincarnation en deux dimensions. Lisez Froidmont à Malagar ! »

Christian Libens, Revue générale,

Revue La Tortue verte – Université Lille 3

« Conjuguant l’introspection, la drôlerie, l’ironie à l’adresse du fonctionnement universitaire et du milieu éditorial, ce premier roman foisonne d’allusions, de références culturelles et intellectuelles. Il est documenté littérairement et historiquement, impliqué politiquement, élogieux envers ces/ses auteurs, tout en faisant l’apologie des humbles. C’est une source d’interrogations à la fois personnel les et universelles, mais aussi une réflexion sur ce qu’est un écrivain. »

Esther Baiwir et al., Revue La Tortue verte,

Le Carnet et les Instants

« A priori, rien ne destinait Claude Froidmont (qui, tiens, porte le même prénom que Claude Mauriac, le fils écrivain lui aussi, de l’auteur de Thérèse Desqueyroux) à s’intéresser à ce romancier bourgeois, issu de la droite catholique française, gaulliste, conservateur à bien des égards, et néanmoins en son époque, progressiste sur bien d’autres points. Le narrateur de ce roman autobiographique qu’est Chez Mauriac à Malagar provient d’une classe sociale modeste, le monde ouvrier et celui des mineurs, et ses parents sont fortement impliqués dans le mouvement socialiste et athée, très vivace, c’est bien connu, en région liégeoise. Notre jeune homme, lui, s’intéresse aux livres, à la littérature, et se trouve fort désappointé par ses études de romaniste, où “il ne s’agissait plus de vibrer mais de ratiociner sur une leçon d’un vers de Thomas ou de Béroul”. Quatre années d’études austères et pesantes, où, heureusement, survient un professeur – à qui effectivement d’autres anciens étudiants romanistes de l’ULg penseront avec gratitude – susceptible d’ouvrir d’autres portes plus libératoires vers la littérature. »

Alain Delaunois, Le Carnet et les Instants

Culture ULG

« Présenté comme un roman, ce récit d’une année passée à Malagar, dans la maison bordelaise de François Mauriac perdue au milieu des vignes, semble largement autobiographique. Son auteur, Claude Froidmont, ancien étudiant à l’ULg, aujourd’hui professeur de Lettres en Gironde, raconte comment, de l’été 1989 à l’été suivant, dans le cadre d’un DEA réalisés à l’université de Bordeaux consacré au Prix Nobel de Littérature, il y a occupé “la chambre de Gide” tout en servant de guide aux visiteurs. Vingt-cinq ans plus tard, cet admirateur de l’auteur du Bloc-notes revient sur cette année formatrice autant que fondatrice – il ne quittera plus la région. Il raconte le fil de jours dans cette ancienne propriété de moines célestins achetée en 1843 par Jean Mauriac, arrière-grand-père de l’écrivain qui en a hérité en 1927. Il évoque ses liens de plus en plus solides avec le couple des gardiens tout étonné par sa présence – mais, surtout, par sa solitude dont il semble se satisfaire. Il rend compte, aussi, d’un séminaire rassemblant d’éminents mauriaciens au terme duquel il a été amené, malgré lui, à prendre la parole, étant d’une certaine mesure, par sa présence, considéré comme des leurs. Et il jalonne son texte d’éléments biographiques du “grandécrivain” tout en tentant d’écrire à son sujet un essai qui ne verra jamais le jour. »

Michel Paquot, Culture ULG,

France Culture (La Compagnie des auteurs)

Pour le dernier temps de la série consacrée à François Mauriac, l’équipe de l’émission « La Compagnie des auteurs » part à la découverte du domaine de Malagar avec Caroline Casseville, maître de conférences à l’Université Bordeaux Montaigne et présidente de la Société internationale des études mauriaciennes, et Claude Froidmont, professeur de lettres et auteur de Chez Mauriac à Malagar,

L’Obs

« On peut lire ce récit autobiographique comme une visite – une de plus – au spectral “grantécrivain” dans sa demeure girondine, et l’on ne sera pas déçu, tant il est plein d’images volées, de parfums puissants, de bruissements d’arbres et de jolis portraits (dont celui du si attachant couple de gardiens). Mais il est beaucoup plus que le vade-mecum d’un cicérone provisoire. Ce que raconte Claude Froidmont, dans une prose émerveillée et avec une mélancolie souvent tempérée par l’humour, c’est la manière dont Malagar l’a fondé, éclairé, élevé, lui a fait connaître “la plénitude”, qui est la forme païenne de la béatitude. En dormant chez l’homme qu’il admirait, mais à qui tout, socialement, politiquement, spirituellement, l’opposait, l’étudiant liégeois est vraiment devenu lui-même. C’est là qu’il a renoncé à sa vie d’avant, qu’il s’est converti pour toujours à la littérature, cette “exploration de l’inexplorable”. Il lui fallait bien écrire un exercice de gratitude pour payer enfin sa dette à François Mauriac. »

Jérôme Garcin, L’Obs,

Culture ULG

« Cette petite pépite a le double intérêt de suivre un jeune homme dans sa maturation intellectuelle et de donner à voir l’un des monstres de la littérature françaises d’une façon inédite et rafraichissante. »

Esther Baiwir, Culture. Université de Liège

La Cité

« Cette “aventure” mérite d’être lue et ce, pour plusieurs raisons: elle parle d’amour de la littérature, des bienfaits qu’elle procure à quiconque s’y plonge corps et âme ; elle rappelle l’importance des “passeurs” d’écrits ; elle montre le bouleversement que provoque une vie passée au milieu des livres. […] Claude Froidmont ne reste […] pas prisonnier de Malagar. Il parvient à en sortir, mais métamorphosé : “Il me fallut accepter qui j’étais: un fou de livres et d’idées, un homme de gauche ne se retrouvant plus dans personne, un passionné d’espérance, un solitaire épris de fraternité.” Voilà donc posé tout l’enjeu de la littérature créer chez le lecteur une émotion et changer sa vision monde. Autrement dit, le faire grandir. On ne saurait offrir meilleur remède à quiconque souhaite lutter par des moyens pacifiques contre l’entreprise d’infantilisation actuellement en cours dans notre société. »

William Irigoyen, La Cité

France Bleu Gironde (Le livre de votre week-end)

Jean-Michel Plantey interroge Claude Froidmont sur son roman/récit qu’il vient de publier en guise de « devoir de mémoire »

Librairie Mollat

Le Professeur Jacques Monférier rencontre Claude Froidmont

Blog À part

« Ceux qui ont eu la curiosité/la chance d’aller à Malagar sur les traces de François Mauriac, de visiter la vieille demeure, de s’asseoir à sa terrasse, de flâner aux alentours, de contempler les vignes qui descendent vers la Garonne, goûteront d’autant plus au premier “roman” de Claude Froidmont. Les guillemets s’imposent car, apparemment, il s’agit d’un texte largement autobiographique dans lequel l’universitaire liégeois, devenu professeur de Lettres en Gironde, raconte comment, de l’été 1989 à l’été suivant, dans le cadre d’un DEA à l’université de Bordeaux consacré à l’auteur du Bloc-Notes, il y a non seulement vécu, occupant la “chambre de Gide”, mais il a en plus servi de guide aux visiteurs. »

Michel Paquot, Blog À part

Sud Ouest Dimanche

« Le récit de Claude Froidmont constitue, à la Cioran, un exercice d’admiration. Plus encore, tant il surabonde en éloges éperdus, en mouvements de reconnaissance exaltée. Sans qu’en soient absents l’humour, le doute, une souriante lucidité. L’auteur a vu le jour en Belgique, dans un de ces milieux dits modestes où le socialisme est militant. Peu de rapport avec les propriétaires girondins, leurs demeures solides et ennuyeuses, leurs pins ou leurs vignes, et leurs domestiques. Pourtant Mauriac fascine l’étudiant, qui veut lui consacrer un travail universitaire. […] Ainsi rencontre-t-il un professeur bordelais (autre figure du vitrail) qui l’engage comme guide à Malagar. […] Le guide désire être écrivain. Comment écrire dans la chambre qui fut celle de Gide, dans celle de Claude, le fils, épatant mémorialiste, dans le fauteuil crapaud où Mauriac dicta ses derniers articles à sa femme? Soutenu par une impeccable prose, voici un beau livre. On vous le disait : hanté. »

Jean-Marie Planes, Sud Ouest Dimanche

Éclairs. La revue numérique d’Écla

« Entre exercice d’admiration sur le “grantécrivain” qui hante les lieux, et tentative d’affranchissement pour accomplir soi-même le geste créateur, ce roman au style constamment élégant réjouit par son humilité rafraîchissante et sa leçon finale qui fait la peau à Icare pour entrevoir un bonheur peut-être plus proche de la résignation. »

Frédéric Lacoste, Éclairs. La revue numérique d’Écla

Rue89 Bordeaux

« Chez Mauriac à Malagar raconte le séjour d’un jeune belge dans une demeure fascinante et son admiration pour les livres et les écrivains. Encore, diront les grincheux. Nous, nous ne nous plaindrons pas. Le livre de Claude Froidmont […] est un roman étrange dont le personnage principal est une demeure vide, mais peuplée des fantômes et des souvenirs qui y ont été laissés par ceux qui y ont vécu – François Mauriac, au premier chef, mais aussi Gide, l’hôte de passage, Claude Mauriac, le fils… […] Chez Mauriac à Malagar est un bel exercice d’admiration, et cela est assez rare à notre époque ; c’est aussi la preuve que son auteur est sorti de l’état de sidération où l’avait plongé la grandeur de ses maîtres et l’on ne peut que s’en réjouir. »

Patrick Rödel, Rue89 Bordeaux

La Libre Belgique

« Son Chez Mauriac à Malagar n’est ni une biographie ni une autobiographie, tout en se référant un peu aux deux. C’est une invitation à entrer dans une ambiance et y croiser des êtres denses, vrais, illustres. C’est, dans un style classique, le témoignage d’un homme amoureux enthousiaste, excessif, ingénu, dans ses bonheurs et, en cela, c’est une rencontre rafraîchissante et attachante. »

Monique Verdussen, La Libre Belgique

7 Dimanche

« L’écriture de Claude Froidmont est fluide, légère et impressionniste. Il y mêle descriptions de lieux et de gens, évocation de l’œuvre de Mauriac, de sa propre vie, de ses parents. Chez Mauriac à Malagar est un livre inclassable, entre fiction et documentaire, dans lequel il faut se laisser entraîner au rythme de l’auteur, un peu comme on suivrait un ami dans ses pensées, ses divagations et ses digressions… On y trouve aussi des personnages attachants, comme ce gardien de Malagar, surnommé Bronson. »

Charles Ledent, 7 Dimanche

Diacritik

« Voici un premier roman charmant et inattendu. Inattendu en ce qu’il est nourri de littérature du passé – celle du temps de Mauriac – et qu’il conte une histoire rêveuse qui, elle, tient d’une expérience bien plus récente. […] Il est vrai que ce petit socialiste prolo qu’est Froidmont eût pu se choisir un modèle plus immédiatement proche. Un Albert Camus peut-être. Mais non, c’est Mauriac et rien que Mauriac avec sa conscience chrétienne tourmentée, avec son adhésion à la droite d’avant la guerre d’Espagne, avec son goût de la vie parisienne, de ses réceptions et de son Académie, avec plus que tout son Malagar. C’est là que Froidmont s’est inventé avec bonheur au milieu de scènes souvent rêvées et d’images parfois importées. Et c’est là qu’il a commencé le roman que nous lisons aujourd’hui avec un réel plaisir. »

Jacques Dubois, Diacritik

RTC Liège (L’Ardent Parler)

Claude Froidmont présente son premier roman Chez Mauriac à Malagar sur le plateau télévisé de « L’Ardent Parler ».

Le livre coup de coeur de France Bleu Azur

Daria Bonnin reçoit Claude Froidmont pour parler de son dernier livre « Je viendrai à Montréal » sur France Bleu Azur.

Interview de Claude Froidmont pour Fenêtresurblog

Le site Fenêtresurblog interview Claude Froidmont pour parler de « Je viendrai à Montréal »

Chronique – Au hasard des livres : Je viendrai à Montréal

Chronique du livre de Claude froidmont par Ghislaine de Rochefort sur RCF Avignon.

Rue 89

« Claude Froidmont nous donne une reconstitution très vivante du contexte historique et social de ce XVIIIe siècle, une description fidèle du foisonnement d’idées et de sentiments contradictoires, jusqu’au cœur même de ses personnages, qui est la marque des périodes de grands changements. (…) Et le lecteur se laisse prendre à ce tourbillon d’événements, entraîné par le style même de Froidmont dont l’élégance s’adapte au mieux à l’esprit du temps. »

Le carnet et les instants

« Un roman historique mais épuré, sans descriptions échevelées, digressions alambiquées. Un roman romanesque, avec un zeste de suspense, du mouvement, des personnages en trois dimensions. Un roman bien écrit, narré dans la fluidité. »

Les rencontres littéraires de Radio Air Libre

À partir de 7’50

Les amis d’Henri Guillemin

« Claude Froidmont nous donne une reconstitution très vivante du contexte historique et social de ce XVIIIème siècle, une description fidèle du foisonnement d’idées et de sentiments contradictoires, jusqu’au cœur même de ses personnages, qui est la marque des périodes de grands changements. L’époque n’est plus aux intrigues simples quand couvent les forces qui vont bouleverser l’Europe. »

Le Carnet et les Instants

« Avec Dommage qu’elle soit si grosse…Claude Froidmont donne voix à un personnage atypique, absolument hors-norme, dont se dégage une touchante humanité. Au fil des réflexions et des souvenirs de Bernard, il est possible de saisir ce qui l’a façonné et ce qui l’habite. Le dégoût de son corps, l’encombrement de soi et le rejet de ses congénères, le besoin vital de reconnaissance, mais aussi et surtout l’amour des Lettres, la foi en l’Homme, une honnêteté sans fard, le goût des idées et le sens de l’Histoire, « l’espérance [qu’il] guette à tous les carrefours des destinées et [qui] a toujours été si violente qu’elle s’est logée en [lui] et [lui] fait apercevoir tous ses signes là où les autres ne les voient pas ». Dans une prose efficace teintée d’humour, Froidmont a créé un héros de poids… loin d’être pesant ! »

Mediapart

« Le livre de Froidmont permet de réfléchir sur ce qu’est l’échec, sur ce qu’est la réussite, sur leur extrême relativité. Et le paradoxe est que le récit de ces échecs successifs est une réussite, grâce au ton de Froidmont, à sa véhémence, à une rage contenue devant les absurdités de la vie et les sévérités injustifiées dont elle est si souvent parsemée, devant les deuils successifs par lesquels il faut passer, ceux des êtres que l’on a perdus, ceux qui vous ont trahi, par le deuil aussi de toutes ses illusions. Mais l’écriture demeure même s’il faut en rabattre sur la gloire qu’on croyait obtenir grâce à elle – et cette obstination est en elle-même admirable. »

Le Carnet et les Instants

« […] Aussi Quand j’étais belge est-il avant tout une succession de confidences qui ne cherchent en rien à gommer les errements et sa lecture peut séduire par sa sincérité et illustrer le désenchantement dont les observateurs soulignent régulièrement à quel point il a gagné une part de notre société en mal de repères. « 

Portrait littéraire par la librairie Mollat